APOLLINAIRE, Guillaume. Les onze mille Verges. Paris : Jean-Jacques Pauvert, 1973, J'ai Lu, 1986.

Appréciation globale : assez bien.

Lectorat (selon nous) : lecteurs motivés (adultes).

Commentaires — « Il fallait bien l'humour d'un Guillaume Apollinaire pour raconter cette histoire démesurément obscène. » (extrait de la quatrième de couverture).

CRICHTON, Michael. Le treizième Guerrier. Paris : Mazarine, 1982, Pocket, 1986.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — « Le treizième Guerrier » : un roman, mais un film également !
Un roman sur un monde physique et spirituel qui nous est très étranger.
Si vous lisez ce roman, surtout ne manquez pas d'en lire l'introduction, ni les « sources » (en fin d'ouvrage), afin de pouvoir faire la part des choses, entre données historiques, légendaires et romanesques.
La matière de ce roman est fournie d'une part par la relation d'Ibn Fadlân (à laquelle il a été fait référence par ailleurs — voir la rubrique Histoire-religion-tradition-folklore de la bibliographie), et par le « Beowulf », l'un des textes fondateurs de la littérature et de la langue anglaise, mais traitant de légendes scandinaves.

LE GUIN, Ursula. La Règle des noms. In : KLEIN, Gérard (anthologie réunie et présentée par). Le Livre d'Or de la Science-Fiction - Ursula Le Guin. Paris : Press Pocket, 1978.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — Nouvelle (fantasy).

« […] Il vit le visage de Barbenoire prendre une pâleur livide, il vit trembler ses lèvres frangées de barbe.
— Ton nom est Yevaud !
— Oui, dit une grosse voix rauque et sifflante. Mon vrainom est Yevaud, et ceci est ma forme véritable […] » (extrait).

LEIBER, Fritz. À l'Aube des Ténèbres. Paris : Gallimard, 1958, J'ai Lu, 1976.

Appréciation globale : TRÈS BIEN.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — La religion a été réinventée par les scientifiques détenant le pouvoir ; une nouvelle religion, afin d'éviter le retour à la barbarie. Les miracles, qui prouvent l'existence du Grand Dieu, sa réalité, sont produits par des moyens scientifiques. Les prètres, les savants donc, leur ambitieuse hiérarchie, divisée par des factions rivales, et dont les membres se montrent fort avides de pouvoir, et sont fort peu charitables, règnent sur un peuple émerveillé et épouvanté.
Mais, dans ce « meilleur des mondes », naît bientôt une nouvelle sorcellerie ; une nouvelle sorcellerie, agissant d'abord dans l'ombre, avant de s'enhardir et d'agir au grand jour, en employant à son bénéfice ces moyens scientifiques et miraculeux qu'affectionnent les savants du clergé, une sorcellerie qui revendiquent pour le peuple la dignité, la liberté. « Une lutte mortelle s'engage ».

Fritz Leiber, avant d'exercer le métier d'acteur, avant d'écrire, fut tenté par la vocation religieuse et suivit les cours d'un séminaire de théologie générale.

LEVIN, Ira. Les Femmes de Stepford. Paris : Albin Michel, 1974, J'ai Lu, 1981.

Appréciation globale : TRÈS BIEN.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — « […] Qu'arrive-t-il donc aux femmes de Stepford ? Ont-elles toujours été, ainsi que Joanna les découvre en s'installant dans cette ville, de véritables poupées ménagères, uniquement préoccupées de l'entretien de leur intérieur et du bien-être de leur famille ? Ou alors sont-elles victimes de leurs maris, tous adhérents du « Club des Hommes », qui se réunissent chaque soir dans une vieille bâtisse mystérieuse interdite aux femmes.
« Joanna, jeune femme libérée, tente de créer une association féminine avec l'aide de deux amies nouvellement arrivées. Quelle n'est pas sa stupeur de les voir, à leur tour, se transformer brusquement, à l'image des autres femmes de la ville. L'inquiètude devient rapidement de l'angoisse…
« Joanna parviendra-t-elle à échapper à ce cauchemar aseptisé, climatisé, lot quotidien des femmes de Stepford ? » (extraits de la quatrième de couverture).

TOLKIEN, J. R. R.. Bilbo le Hobbit. Paris : Stock, 1969, J'ai Lu, 1981.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — « Bilbo le Hobbit » et sa suite « Le Seigneur des anneaux » de John Ronald Reuel Tolkien sont des ouvrages maintenant quasi universellement connus. Si vous ne les avez pas encore lus, lisez-les sans plus tarder ! Vous passerez à leur lecture des moments inoubliables. Il s'agit-là de véritables chefs-d'œuvre qui raviront l'âme d'enfant qui est encore en vous.
Et parions que longtemps encore après la lecture leurs personnages hanteront votre mémoire.
Ces ouvrages romanesques, épiques (fantasy), se nourrissent de la vieille matière des mythes celtes et scandinaves, dont, à la suite de Tolkien, tout un courant de la littérature anglo-saxonne contemporaine s'est emparé.
 
Notons que l'on retrouve cette matière celte et scandinave, dans les romans moyenâgeux que sont notamment « Tristan et Iseult » ou « Les romans de la Table ronde », eux aussi à découvrir ou à redécouvrir.

TOLKIEN, J. R. R.. Le Seigneur des Anneaux - Tome I - La Communauté de l'Anneau. Paris : Christian Bourgois, 1972, Le Livre de Poche, 1981.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires —
« Trois Anneaux pour les Rois Elfes sous le ciel,
« Sept pour les Seigneurs Nains dans leurs demeures de pierre,
« Neuf pour les Hommes mortels, destinés au trépas,
« Un pour le Seigneur Ténébreux sur son sombre trône
« Dans le Pays de Mordor où s'étendent les ombres,
« Un Anneau pour les gouverner tous, un Anneau pour les trouver,
« Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier
« Au pays de Mordor où s'étendent les ombres. » (extrait).
 
« Bilbo le Hobbit » et sa suite « Le Seigneur des Anneaux » de J. R. R. Tolkien sont des ouvrages maintenant quasi universellement connus. Si vous ne les avez pas encore lus, lisez-les sans plus tarder ! Vous passerez à leur lecture des moments inoubliables. Il s'agit-là de véritables chefs-d'œuvre qui ravirons l'âme d'enfant qui est encore en vous.
Et parions que longtemps encore après la lecture leurs personnages hanteront votre mémoire.
Ces ouvrages romanesques, épiques (fantasy), se nourrissent de la vieille matière des mythes celtes et scandinaves, dont, à la suite de Tolkien, tout un courant de la littérature anglo-saxonne contemporaine s'est emparé.
 
Notons que l'on retrouve cette matière celte et scandinave, dans les romans moyenâgeux que sont notamment « Tristan et Iseult » ou « Les romans de la Table ronde », eux aussi à découvrir ou à redécouvrir.

TOLKIEN, J. R. R.. Le Seigneur des Anneaux - Tome 2 - Les deux Tours. Paris : Christian Bourgois, 1972, Le Livre de Poche, 1981.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — (Voir ci-dessus les commentaires du tome 1).

TOLKIEN, J. R. R.. Le Seigneur des Anneaux - Tome 3 - Le Retour du Roi. Paris : Christian Bourgois, 1972, Le Livre de Poche, 1981.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — (Voir ci-dessus les commentaires du tome 1).

VANCE, Jack. Lyonesse - Tome 1 - Le Jardin de Suldrun. Paris : Press Pocket, 1985.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — « […] dans un tournoiement d'agressions et de vengeances, l'histoire prodigieuse du Lyonesse, en des temps légendaires.
Une histoire fourmillant de malice et merveilles, hantée par la superbe et mélancolique figure de Suldrun — une des plus fascinante créations de Jack Vance ». (Extrait de la quatrième de couverture du premier tome).
 
Le cycle romanesque de Lyonesse (trois volumes — fantasy) semble inspiré par les légendes, l'histoire mythique de l'Irlande ancienne.
 
Jack Vance a écrit de nombreuses nouvelles, de nombreux romans (science-fiction, fantasy, policier). Certains de ces ouvrages sont de vrais bijoux littéraires.
 
Citons, entre autres romans : « Emphyrio », « La Vie éternelle », « Un Tour en Thaery » (science-fiction), « Cugel l'astucieux », « Un Monde magique » (fantasy), « Méchant Garçon » (policier ; roman à découvrir, à l'ambiance très spéciale, où l'action — pour ainsi dire —, se déroule dans une atmosphère particulièrement confinée…).
Et citons, entre autres nouvelles : « Le Papillon de lune ». Selon Jacques Chambon (in « Le livre d'or de la science-fiction – Jack Vance ». Paris : Presses-Pocket, 1981) « Le Papillon de lune est la pierre fondatrice de La Geste des Princes-Démons, le creuset où se sont élaborés et l'idée de cette série de romans et le système qui la sous-tend. ».

VANCE, Jack. Lyonesse - Tome 2 - La Perle verte. Paris : Press Pocket, 1985.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — (Voir ci-dessus les commentaires du tome 1).

VANCE, Jack. Lyonesse - Tome 3 - Madouc. Paris : Press Pocket, 1985.

Appréciation globale : EXCELLENT.

Lectorat (selon nous) : tous lectorats.

Commentaires — (Voir ci-dessus les commentaires du tome 1).