P. IMELRIECK D'AURRAC


Copyright © Patrick Émile Carraud, 1976-2004 

AMOS ET ÉLIE
PROPHÈTES DU MALHEUR


Les exigences de l'Alliance

Amos et Élie vécurent respectivement vers les milieux du neuvième et du huitième siècles av. J.C. Tous deux nous sont connus par les « Nebiim » de la bible hébraïque. On trouve Élie dans les prophètes antérieurs (Josué, Juges, Samuel – I & II –, Rois – I & II –) et Amos dans les prophètes postérieurs (Isaïe, Jérémie, Ézéchiel, et les douze petits prophètes – dont Amos lui-même).

Élie vient de Galaad, de Tichbé, en Israël sous le règne d'Achaab (874 - 853), fils d'Omri. Le royaume du Nord est alors opulent.

Au glorieux Omri a donc succédé le non moins glorieux Achaab. Israël est puissante en Palestine et même au-delà, bien qu'Achaab se fasse battre avec ses alliés par Salmanasar III roi d'Assour, en 853 à Qarqar. Achaab, à l'exemple de Salomon, entretient de bons et profitables rapports avec les cités phéniciennes, ces riches cités commerçantes. Il épousera Jézabel, fille d'Etbaal (ou Ittobaal), roi des Sidoniens (I Rois 16, 31). La ville de Samarie, toute récente capitale, regorge de richesses ; dans les cités les grands vivent luxueusement, dans des palais, construits sur le modèle assyrien, au mobilier incrusté d'ivoire artistiquement ouvragé…

Amos viendra en Israël depuis le désert de Teqoa, une petite localité du royaume de Juda, au sud-est de Béthléem. Ce bourg de Teqoa n'était pas sans renom et Roboam y avait construit une forteresse (II Chr 11, 6). Le ministère d'Amos se situe sous le règne de Jéroboam II qui, après une période funeste, rétablira Israël dans ses limites et lui fera retrouver l'opulence qu'environ un siècle auparavant lui avait procuré les Omrides.

Mais le tableau n'est pas sans ombre. « Au moment où Amos, docile à l'ordre divin, » (Am 3, 3 - 8) « s'achemine vers les tribus du nord, le royaume d'Israël est en pleine essor. Le règne de Jéroboam II renouvelle les temps glorieux de David et Salomon. Profitant des affaiblissements de la Syrie et des embarras que créent à l'Assyrie des démélés avec l'Ourartou, Jéroboam II a rétabli Israël en ses anciennes limites, depuis l'entrée de Hamat, jusqu'à la mer de la Araba (mer Morte) (II Rs 14, 25). Une ère de paix et de prospérité succède aux années de troubles et de misères ; la vie économique se développe rapidement ; on s'enrichit. Le luxe apparaît, on bâtit de splendides demeures, des palais. L'ameublement redevient luxueux, incrustations d'ivoire et d'ébène, tapis et couvertures de prix. L'esprit de jouissance gagne la partie aisée de la nation, ce ne sont que festins et orgies, où, mollement étendus sur des coussins, les grands savourent au son des instrument de musiques, le plaisir de vivre. Aucune inquiétude, aucune crainte du lendemain : on est fier des succès d'hier et on attend pour l'avenir — le jour de Yahvé (5, 18) — de nouvelles victoires » 1.

D'Élie le Tichbite, nous ne connaissons pas les antécédents. D'après le texte hébreu Élie étaient « d'entre les hôtes » de Tichbé, ce qui ferait de lui un étranger résidant en Galaad. Élie, tout comme Amos est donc un étranger qui émigre en Israël pour accomplir une mission bien déterminée : rappeler les exigences de « l'Alliance ».

— Élie le Tichbite —

Élie apparaît brusquement dans le livre des Rois au chapitre 17. Les récits qui nous content son histoire paraissent nettement surajoutés aux chroniques relatives aux faits et gestes royaux et aux commentaires qui en sont faits par le rédacteur du livre. Et encore les textes sur Élie semblent-ils avoir été tronqués par le rédacteur-compilateur. Manifestement le document utilisé à partir de I Rs 17 donnait originellement le commencement de la vie du prophète, mais l'auteur le prend au point où il rejoint son récit : la sècheresse doit punir l'établissement du culte de Baal. C'est une histoire d'Élie composée peut-être vers la fin du IXème siècle, et qui est à la base de ce que la Bible de Jérusalem nomme le cycle d'Élie (I Rs 17 - 11, II Rs 1)

Élie apparaît soudainement et annonce la sècheresse (I Rs 17, 1), un des châtiments de Yahvé (Am 1, 2 ; 4, 7) ; sècheresse qui sera particulièrement sévère parce qu'elle ne comportera aucune atténuation. Son intervention auprès d'Achaab a sans doute pour cause la persécution dirigée contre les prophètes de Yahvé (18, 13. 22 ; 19, 10).

Puis Élie se soumet avec empressement à l'injonction de Yahvé qui le soustrait aux poursuites d'Achaab en le renvoyant vers l'orient, en Galaad, se cacher dans la gorge étroite du torrent de Kérit (17, 3).

Et la sécheresse annoncée se produit ; et le torrent se dessèche… Et la nourriture merveilleusement octroyée par Yahvé ne suffit bientôt plus à sustenter le courageux prophète. Élie part, sur un nouvel ordre de Yahvé, vers Sarepta où les miracles qu'il accomplit nous montrent bien que sa parole est vérité (au sens biblique du mot de fermeté, d'efficacité), nous montrent bien sa qualité d'homme de Dieu (17, 24).

Toujours sur l'injonction de la parole de Dieu, Élie se présente de nouveau devant Achaab (18, 1 - 2). Le récit s'achemine alors vers la scène grandiose qui se déroulera sur le mont Carmel, pour qu'enfin la pluie vienne « sur la face du sol »…

La reine Jézabel a persécuté les prophètes de Yahvé en Israël. Élie, ministre de Yahvé réprimande Achaab et provoque les prophètes de Baal, que Jézabel entretient.

Jézabel est fille d'Etbaal, prêtre d'Astarté, qui par assassinat est devenu roi de Tyr et de Sidon ; son appartenance sacerdotale explique en partie le zèle que déploie sa fille pour répandre en Israël le culte de Baal.

Élie rencontre les sectateurs de Baal sur le mont Carmel. Achaab y rassemble « tous les fils d'Israël » (18, 20). Élie invective le peuple : « Jusques à quand clocherez-vous des deux jarrets ? Si c'est Yahvé qui est Dieu, allez à sa suite ; si c'est Baal, allez à sa suite » (18, 21). Yahvé est là envisagé comme Dieu ! non plus seulement comme un dieu, le simple dieu du terroir d'Israël. Le monolatrisme se voit là dépassé par le monothéisme. Yahvé et Baal ne peuvent coexister. Élie revendique pour Yahvé une divinité exclusive, la divinité ! en tant que seul vrai dieu !

Et c'est alors la scène grandiose et terrible, et célèbre, qui oppose les quatre cent cinquante prophètes de Baal au seul prophète de Yahvé, Élie. Les invocations des prophètes de Baal, maintes fois réitérées, (18, 26-29) demeurent sans réponse. Élie, après une petite mise en scène où il multiplie les précautions afin que les spectateurs ne se méprennent pas sur l'origine du feu qui va fondre sur le sacrifice (18, 30-35), invoque « Yahvé, dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob », le dieu de l'Alliance. Et Yahvé répond ! Son feu dévore l'holocauste ; « c'est Yahvé qui est Dieu » (18, 39).

Les prophètes de Baal succombent alors au Yahvisme ardent d'Élie ; et à l'appétit de vengeance qui naît dans les périodes d'oppression. Ils sont tous égorgés. Alors, sur le sommet du Carmel, Élie prie avec humilité, le visage entre les genoux (18, 42). Et Yahvé, selon sa parole, envoie la pluie.

Mais la reine Jézabel ne s'avoue pas vaincue (19, 1-2). Et elle jure, « par les dieux », de se venger d'Élie. Celui-ci, de peur, car il craint justement pour sa vie, s'enfuit. Mais Dieu le soutiendra dans sa fuite et le conduira jusqu'au mont Horeb, où il se révélera à lui (19, 9-12) ; comme il s'était révélé à Moïse. L'ouragan, le tremblement de terre, les éclairs accompagnent comme il se doit cette théophanie ! Mais ce ne sont que les préludes de la manifestation divine. Et cette manifestation divine, une agréable et rassurante brise, montre combien Dieu peut être proche et aimant, et, à l'égard de ceux qui se soumettent à sa volonté, plein de douceur  : « le murmure de la brise symbolise la spiritualité de Dieu et l'intimité dans laquelle il s'entretient avec ses prophètes » 2.

La parole de Yahvé advient encore à Élie qui se voit confier trois missions dirigées indirectement contre la maison d'Achaab. Élie n'en remplira qu'une, celle du choix de son propre successeur, qui, lui, mènera à bien l'œuvre restant à accomplir.

Élie semble se retirer… Mais voici que Yahvé lui fait reprendre du service (21, 17s.). Sur les conseils de son épouse, Achaab s'est emparé, par le meurtre, de la vigne de Naboth… Achaab a fait ce qui « est mal aux yeux de Yahvé » (21, 20) ! Par la bouche d'Élie Yahvé le condamnera, lui et sa descendance, et sa femme Jézabel.

L'esprit d'Élie se reposera sur Élisée, son disciple et son successeur, tandis que le prophète sera ravi de cette terre, enlevé au ciel (IIRs 2).

— Amos de Teqoa —

Amos quitte la steppe de Teqoa et monte vers le royaume du Nord, vers Samarie, à l'appel de Yahvé.

Sur l'origine de sa vocation irrésistible Amos nous renseigne lui-même. Dans sa réponse au prêtre du sanctuaire de Béthel (7, 14-15) Amos affirme, non sans solennité « Je ne suis pas prophète et je ne suis pas fils de prophète […] Yahvé m'a pris de derrière le troupeau et Yahvé m'a dit : Va, prophétise à mon peuple Israël ». Il fut choisi directement, immédiatement par Yahvé, et il ne put résister à l'emprise divine. Il se défend d'être de ces prophètes de profession, qui groupés en congrégations déambulaient dans le pays en bandes tapageuses ou se faisaient entretenir à la cour. Amos n'use pas de leurs pratiques, de leurs artifices pour favoriser son inspiration. Le prophétisme d'Amos, comme celui d'Élie, est à l'état pur ; il n'en aura que plus de vigueur et d'intransigeance. Il se prononcera avec une autorité souveraine tout le temps de sa mission, jusqu'à ce qu'il retourne derrière ses troupeaux, d'où Dieu l'avait pris.

La prophétie d'Amos est sombre. Alors que les grands d'Israël se laissent emporter par la jouissance, Amos leur crie qu'un temps de malheur est arrivé ! Et que le jugement de Yahvé ne s'applique pas seulement à Israël ou à Juda, au peuple élu, mais à toutes les nations !

Mais, c'est à Israël qu'Amos est envoyé, et il ne lui ménage pas les avertissements ni les menaces (3, 1 ; 6, 14). Israël avait bénéficié de l'élection de Yahvé (3, 1-2), mais s'en montre indigne. Samarie est corrompue, dans le luxe ses grands se laissent aller à la débauche et oppriment le faible et le pauvre (3, 9s. 4, 1-3 5, 10s. …). Le culte rendu à Yahvé est hypocrite et impur ; et Dieu ne souffre pas que l'on partage le culte qui lui est dû avec celui des idoles (5, 18-37).

« Malheur à ceux qui se croient tranquilles… » (6,1). Malheur aux jouisseurs, qui, fiers de leurs victoires, croient en remporter d'autres. Israël croit que l'élection lui apporte la protection inconditionnelle de Yahvé (5, 14) ; erreur ! Israël, objet des prévenances divines, n'en sera châtiée que plus sévèrement si elle en vient à prévariquer. Les droits de la justice l'emportent sur le privilège de l'élection ! Yahvé punit le mal partout où il le rencontre : les nations, et Israël tout particulièrement, en feront la douloureuse expérience !

Et, dans les hauts lieux d'Israël, à Samarie, à Béthel la voix d'Amos, tonnante, crie la parole de Dieu : annonce de malheur pour le royaume d'Israël, suprême avertissement ! S'il ne s'amende pas, la justice divine va s'abattre sur lui dans toute sa rigueur (2, 4-8, 13-16).

Et Amos évoque le jour où Yahvé manifestera sa vengeance, où éclatera son courroux (5, 18-20). Ses visions préfigurent le châtiment et l'annoncent encore (7 8).

Jusque dans le sanctuaire de Béthel Amos prophétise et indispose. Amasias, le prêtre du lieu, ne peut supporter ce trublion, cet agitateur. Il prévient le roi et chasse Amos (7, 10s.). Amasias assimile Amos aux prophètes de carrière, mais ne l'accuse pas d'être un faux prophète ; au contraire, par son intervention et son accusation de conspiration, il montre qu'il redoute la prédication de ce prophète ; la parole d'Amos, supposée efficace, est considéré comme la cause directe des malheurs qu'elle annonce…

Amos retournera à ses troupeaux. Mais la réponse n'en est pas pour autant moins farouche est assurée. Et Amos réitère son message !

Toutefois les derniers mots du prophète sont moins sévères. À plusieurs reprises il laisse entendre que la destruction que projette Yahvé ne sera pas complète (3, 12 ; 5, 1-3). Un salut sera réservé à une élite, un « reste » (5, 15 ; 9, 8-9) ; la maison de Jacob, pécheresse, ne sera point totalement exterminée. L'ire divine sera le creuset enflammé où le tri des pécheurs et des justes s'accomplira. Les pécheurs, seuls, disparaîtront, tandis que les fidèles, soigneusement triés au crible de l'épreuve, perpétueront le peuple de Yahvé.

Sur les hauteurs où Dieu triompha

Amos a la réputation d'être le premier des prophètes écrivains… Quoi qu'il en soit, ses visions, ses oracles se trouvent compilés dans un recueil lui étant dédié, travail dont il est le premier à bénéficier. Jusqu'alors les dires des prophètes antérieurs étaient rapportés fragmentairement dans des récits historiques qui leur servaient de supports et dans lesquels ils se coulaient, ou qu'ils illustraient et auxquels ils donnaient un sens (Samuel, Nathan…).

Élie et Amos sont deux campagnards que l'égarement des métropoles enrichies, leurs errements à la suite des faux dieux irritent, indignent.

Contre les puissants, les riches, les jouisseurs, les exploiteurs, ils soutiennent les faibles, les pauvres, les opprimés qui paient par leurs misères le prix du plaisir des grands (IRs 21 ; Am 8). Ils témoignent de l'indignation des petites gens, qui ne bénéficient pas du commerce avec Tyr, Sidon ou Damas. Ils sont les témoins de l'opprimé contre l'oppresseur, de ceux qui demeurent ancrés dans la tradition des aïeux contre ceux qui ne s'en contentent plus.

Tous deux témoignent différemment des mêmes exigences du Dieu de l'Alliance, du seul vrai dieu. Un dieu jaloux, un dieu qui intervient partout où la justice est violée. « On ne sait ce qu'il faut admirer le plus, de l'élévation d'une telle doctrine ou de l'assurance » avec laquelle Élie et Amos l'exposent, la rappellent. Jamais on a le sentiment qu'il innovent beaucoup, ou approfondissent les données de la tradition. Ce serait une erreur de voir en Élie ou Amos les fondateurs du monothéisme moral. Ils se rattachent à la tradition mosaïque qu'ils voudraient restaurer dans toute sa pureté. Elle sommeillait dans l'âme d'un grand nombre de leurs contemporains, que la prospérité avait détourné du Yahvisme intégral. Les prophètes venus du désert ont poussé un cri d'alarme, et leurs voix, échos de celle de Moïse, ont traversé les âges.

Si la tradition juive semble avoir quelque peu négligé Amos, elle exalta Élie qui lui parut être un nouveau Moïse. En effet, d'un certain point de vue, cet Élie, se situant aux confins de l'histoire et de la légende, peut paraître un personnage prodigieux. Toute son activité se déploie dans le mystère, depuis sa brusque apparition jusqu'à sa disparition miraculeuse… Thaumaturge, il semble disposer à son gré des éléments et jusqu'au feu du ciel ! (IRs 18 ; IIRs 1). Yahviste intrépide il défie les rois (Achaab, Ozochias), et les prophètes de Baal, et s'immortalise par la scène fulgurante du Carmel. Il mène jusqu'au bout un combat dont il n'est pas sans éprouver la rigueur. Après s'être choisi un successeur, il est enlevé dans la tourmente… !

Il marque à tel point l'imagination et la sensibilité de son peuple que l'on ne pourra évoquer les temps nouveaux sans faire appel à sa présence (Mal 3, 23-24). Enfin dans le récit de la transfiguration il figurera au côté de Moïse (Mt 17, 3), pour apporter son témoignage au messie enfin apparu.

Amos, précurseur méconnu de tout un courant prophétique, ne connaîtra pas quant à lui la puissance et la gloire d'Élie. Il restera très longtemps le simple « voyant » qu'Amasias lui-même, renvoie du haut lieu de Béthel. Il n'appelle pas la foudre pour consumer ses adversaires comme le fit Élie. Non, ce n'est pas par des miracles, par des signes merveilleux, c'est par des visions, par le sens qu'il attribue aux événements, par des remontrances qu'il interpelle Israël.

Son enseignement, son souvenir ne fut point d'abord essentiellement assumé par la tradition orale, avant d'être porté par écrit ; il rédigea, ou dicta, sans doute très tôt, un récapitulatif de ses prophéties, peu modifié par la suite.

Élie bénéficia de toutes les ressources du génie populaire, qui exalta ses caractères exceptionnels, prodigieux, mystérieux, qui lui conféra la place de choix qu'il occupe dans le mythe judéo-chrétien.

Si Amos est redécouvert depuis peu seulement, Élie plus intensément présent dans la tradition juive, a suscité un grand courant spirituel dans le monde chrétien, celui de la famille carmélitaine. Les chrétiens du Moyen Âge qui se rendirent en Terre sainte, découvrirent le Carmel, ce magnifique promontoire rocheux, et l'envisagèrent en se souvenant du grand prophète. L'antique montagne redevint un haut lieu spirituel d'où il semblait possible de s'approcher de Dieu. Et l'on y pria à nouveau comme Élie y avait prié après le sacrifice (IRs 18), en recherchant peut-être l'intimité avec le Seigneur dans cette brise, qui soufflant sur l'Horeb devait bien aussi, sûrement, se faire sentir sur les hauteurs où Dieu triompha.


• 1 —

OSTY, Émile. TRINQUET, Joseph. La Bible Osty. Paris : éditions Seuil, 1973.

• 2 —

« De Vaux (1958) : « Le murmure d'un vent tranquille symbolise la spiritualité de Dieu et l'intimité dans laquelle il s'entretient avec ses prophètes, non pas la douceur et le silence de l'action […] ». » in : VERNES, Maurice. RÉVILLE, Jean. MARILLIER, Léon. DUSSAUD, René. ALPHANDÉRY, Paul. Revue de l'Histoire des Religions. Volume 208. Paris : Librairie Ernest Leroux (PUF), 1991 ; p.254.

• N.B. : les citations du texte biblique sont tirées de « La Bible Osty » (voir référence bibliographique ci-dessus à la note n°1).

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